Le Bottom-up des Cybercitoyens
Et les citoyens dans tous ça ?
Ils peuvent maintenant discuter et échanger leurs activités, points de vue, pétitions... Et avoir accès à une multitude d'informations par la transparence, ou le passé, présent et futurs sont simultanés. Il faudra avant tout que chaque cybercitoyens trie les informations, les décrypte et se documente sur un autre support.
Le gouvernement étant positionné dans l'ensemble des institutions, les citoyens se voient eux aussi influencer directement ou indirectement les enjeux, formulations et décisions du gouvernement.
Le fait d'avoir un lien direct avec les personnes qu'il a élu positionne le citoyen au même stade que le cyberparlement.
Il est alors plus épanouie, plus actif car il peut se faire entendre autrement que par les élections.
Lorsque l'on remarque une hausse de la participation des citoyen, on nomme cela le "bottom-up". Nous pouvons aussi aborder le sujet de "online scrutiny" qui est le suivi en ligne des activités du cybergouvernement.
Ces deux appelations se coditfient très bien car l'online scrutiny est nécessaire à un bottom-up. Les cybercitoyens auront plus de faciliter à interragir avec les élus s'ils ont connaissance de leurs lois, travaux, activités...
Internet et la démocratie se relient donc pour former un nouveau moyen de communication et de participation, autre que les élections (relativemment restreint)
La suite va dépendre de la façon dont la cyberdémocratie sera exploitée par les différents gouvernements.
Car n'oublions pas que le régime, par exemple la dictature, aura toute conséquence sur les moyens de participation des citoyens, la démocratie en elle-même n'étant pas respectée.
Source :
https://stephanecozzo.wordpress.com/2013/04/10/que-manque-t-il-a-internet-pour-revolutionner-le-monde-politique/
http://lesclesdedemain.lemonde.fr/organisations/petitions-numeriques-un-canal-bottom-up-encore-a-inventer_a-12-481.html